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Dernière mise à jour : le 17 mai 2006
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ATTENTION ! - TRÈS IMPORTANT !
Quelques anciens inscrits sur la liste des "retrouvés" ne reçoivent plus messages été adressés à tous les "anciens", et qui nous reviennent sans avoir pu leur être distribués :
soit parce que leur adresse e-mail est fausse (ou qu'ils en ont changé sans nous en prévenir) :
Ali Benabdi, Saïd Chetibi, Liazid Dehar, Mohand Amokrane Dehar, Fouzi Karkouche, Lounis Mahiou, Lucien Vitiello.
soit parce que leur messagerie est saturée (il faut de temps en temps nettoyer sa boîte aux lettres !) : Jean-Jacques Ledjam
Merci de nous prévenir si vous corrigez ces défauts, pour continuer à figurer sur la liste des retrouvés et à recevoir les "Échos d'Air de France". Sinon vous serez bientôt retirés de la liste des retrouvés et vous ne recevrez plus aucun message provenant de ce site.
Si vous êtes intéressé, Théo Bruand propose les plans qu'il a réalisés sur : Air de France en 1958 (échelle 1/2500, dimensions 72x62 cm, prix 15 €), Bouzaréah en 1958 (échelle 1/2800, dimensions 49x54 cm, prix 15 €), El-Biar en 1956 (échelle 1/8300, dimensions 70x80 cm, prix 13€) et sur beaucoup d'autres villages d'Algérie (pas encore Dély Ibrahim et Aumale).
Pour commander ces plans, écrire à
Théo BRUAND - 11 avenue Clémenceau - 39500 - TAVAUX ou par e-mail (Port et envoi en tube postal Colissimo 7 €)
QUESTIONS et (peut-être) RÉPONSES
Si vous avez des informations ou des réponses à ces questions, merci de nous les adresser par e-mail .
• Qui se souviendrait d'une salle de sport ou de musculation fréquentée par les jeunes d'Air de France vers 1950 ? Cette salle devait se trouver près de l'endroit où sera édifié le CEG Baranès. Comment s'appelait la personne qui s'occupait de cette salle ?
La réponse de Jean-Jacques Ledjam : Concernant la salle de sports qui se trouvait à Air de France, je me rappelle qu'entre 1950 et 54, je fréquentais avec mon frère, une salle de sport qui était tenue par les époux VANI (je l'écris comme cela se prononce....). Il s'agissait d'une grande villa, qui comportait à l'extérieur sur le devant, une piscine toute en longueur pour apprendre à nager, et un grand bac à sable, avec un portique et un plongeoir pour apprendre le plongeon acrobatique. Nous étions retenus par un système de cordes et poulies que Monsieur VANI faisait fonctionner. A l'intérieur de la maison, en rez-de-chaussée, il y avait une grande salle de gym, avec tatami et appareils de musculation (de l'époque). Derrière la maison, se trouvait un terrain avec piste de course et divers appareillages de gym (échelles etc...). Quant à l'emplacement exact, c'est plus difficile, mais nous y allions à pied avec mon frère...

• Qui connaîtrait l'origine de l'appellation du lieu-dit "Camp Tabet" situé entre le lotissement Pascal et le lotissement Chevalley, le long du chemin de traverse qui reliait la route de Bouzaréah à celle du Frais Vallon et permettait ensuite de rejoindre Châteauneuf ?

• Quelle est l'origine de la couleur des maillots (jaune et noir) de l'USB (Union Sportive de Bouzaréah)

• Il semblerait qu'il y ait eu, en une ou plusieurs occasions, des fêtes de fin d'année à l'école mixte d'application d'Air de France. Qui en aurait quelques souvenirs ou des documents ?

• Sur les photos prises depuis le Printania (sur la page Miremont), quel est le groupe de grands immeubles que l'on aperçoit à droite de ceux de l'ARMAF (Clairval ?)?
La réponse de Guy-Georges Odin (sur la page "parc de Miremont") : D'après nos souvenirs, ces immeubles ont été construits vers 1960. Ils étaient situés entre les immeubles de l'ARMAF et la ferme Bétouche. La ferme Bétouche côtoyait le lotissement Clairval. Ces immeubles ont probablement été construits sur une partie des terres de cette ferme. Cette ferme était un peu en retrait par rapport à la route nationale N° 41 qui allait d'El-Biar à Chéragas. Sur cette route à hauteur de la ferme, il y avait une boulangerie qui devait appartenir à la famille Bétouche. Ces immeubles étaient à peu près situés en face de ceux de la cité Fougeroux et en étaient séparés par la nationale. Nous avons assisté à l'époqueà une urbanisation rapide des terres agricoles et des pâturages. Au début, en 1957, le lotissement Clairval était entouré par le golf, la ferme Bétouche, des terres agricoles et la nationale. De l'autre coté de la nationale il y avaient aussi des champs. Nous étions à la campagne. Puis en quelques années, les immeubles autour du lotissement ont poussé comme des champignons. Quand nous avons quittés l'Algérie en juin 1962, la construction de ces immeubles venait de s'achever ou était sur le point de l'être. Des nouvelles tranches de travaux de construction d'immeubles ont-elles été entreprises après notre départ ? La ferme Bétouche existe-t-elle toujours ? Algérie chérie, quand tu nous tiens!
Et des précisions de M'Hamed Zibouche : les bâtiments construits vers 1960 sur la propriété Bétouche étaient destinés vraisemblablement à la police. Cela devaitêtre une seconde cité de la police et après leur achèvement en 1962, ils ont été attribués à la police algérienne. Pour la boulangerie, elle n'appartenait pas à Bétouche mais à Iguilariz. A coté de la boulangerie, il y avait un magasin qui appartenait à une dame dont le nom est je crois Aznar et à coté de ce magasin il y avait un petit bar.

Et une confirmation de Chadli Hamza : Le grand ensemble de bâtiments que l'on recherchait dans la photo prise du "Printania" est la cité des C.R.S., qui pratiquement jouxtait l'ARMAF, en face de ce qui était la menuiserie "Navarro". Elle a dû être construite en 1960, voire 1961 soit assez tard et ne pouvait pas être connue de tous.

• Qui pourrait nous dire où se situaient le Lotissement d'Apremont et le lieu-dit La Petite Provence ?
La réponse de Kamel Adjouri : Pour se rendre à Apremont, ce lot de villas appelé également "Petite Provence", qui se trouvait pas très loin de la D.S.T. où existait à l'époque l'hôtel"La Côte d'Or", on pouvait, soit à partir de la rue du Vercors et descendre à droite, soit à partir de la grande route qui montait du lotissement Chevalley, après le lotissement Pascal, prendre sur la gauche, la rue qui faisait face à la façade du bâtiment du collège Baranès (entrée des professeurs). En contrebas et à gauche de ce lotissement d'Apremont se trouvait la cité Fougeroux et, sur les hauteurs de ce lotissement, le Parc de Miremont et son immeuble bien connu, le "Printania".
Et une confirmation de Chadli Hamza : Le lotissement Apremont se trouve derrière le lotissement Pascal, du côté de l'endroit où il y avait les locaux de la D.S.T., plus loin de ce qui était l'hôtel "La Côte d'Or". Il allait jusque vers la cité de la Police, au haut de Fougeroux et à l'orée de Miremont. D'où je pense, la similitude des noms.

Note du site : il n'est pas impossible que le lotissement d'Apremont (que certains connaissaient sous le nom de "la Côte d'Or") et la "Petite Provence" soient deux ensembles juxtaposés mais différents car nous avons trouvé sur un plan, que la "Petite Provence" pourrait se situer entre le lotissement d'Apremont, la route de Bouzaréah, la station de pompage (réservoir) et l'école d'application , où il y avait, en face du café "Le Normandie", un petit centre commercial avec le salon de coiffure de Mme Amato et la Pâtisserie Pellegrino et la mairie-annexe du 6ème arrondissement du Grand Alger.

• La route de Beni-Messous (celle qui partait de la boulangerie Torrès, passait devant l'école des Transmissions et arrivait au Chenil de la Gendarmerie) a t'elle porté le nom de Route de la Tourelle ou Rue de Touraine ? Ou bien a t'elle porté successivement ces deux noms ? Ou bien est ce que Tourelle serait une déformation phonétique de Touraine ?

• Qui connaîtrait le nom du général qui habitait au lotissement Rabut, à Bouzaréah, la maison n°8 sur le plan du quartier "les Deux-Piliers et l'Ecole Normale" ?
Des réponses convergentes indiquent qu'il s'agirait du colonel (et pas général) Sapin-Lignères qui commandait les Unités Territoriales d'Alger-Sahel.

• Une incertitude concernant la Rue du Velay et la Rue du Vivarais : quel est le nom de celle qui était dérrière l'école entre la rue du Valois et la route de Bozaréah, dans le prolongement de la rue du Vercors et quel est le nom de celle qui partait de la rue du Valois au niveau de l'olivier "marabout" pour rejoindre la laiterie Djaffer ?